A peine en ligne, le ministère de la Défense cambodgien a décrit le rapport comme une atteinte à la souveraineté du pays. Il vise douze hauts gradés des forces de sécurité cambodgiennes qui se sont rendus responsables de violations répétées des droits humains selon Human Right Watch.
D’après l’ONG internationale, la plupart de ces généraux ont permis l’usage de la force de manière excessive, superflue, voire meurtrière lors de manifestations civiles. Le rapport souligne aussi que certains ont été cadres sous le régime khmer rouge responsable de la mort d’un quart de la population cambodgienne entre 1975 et 1979. Tous sont proches du Premier ministre Hun Sen depuis au moins 20 ans. Tous sont membres du comité central du CPP, le parti du Premier ministre.
Les droits politiques des membres des forces de sécurité sont garantis par les lois internationales. Mais pour l’ONG, au Cambodge, cet engagement politique interfère avec l’obligation de respect des droits de l’Homme. Avec l’aide de sa garde rapprochée, le Premier ministre est régulièrement accusé de réprimer toutes critiques en amont des élections du 29 juillet.
Alors que nombre d’Etats occidentaux mettent en doute la légitimité du scrutin, les Etats-Unis ont franchi un cap le 12 juin dernier. Pour avoir mené un groupe impliqué dans des violations des droits de l’homme, le général Hing Bun Hieng, chef des gardes du corps de Hun Sen, a été interdit de séjour aux Etats-Unis et ses biens y ont été gelés.
D’après l’ONG internationale, la plupart de ces généraux ont permis l’usage de la force de manière excessive, superflue, voire meurtrière lors de manifestations civiles. Le rapport souligne aussi que certains ont été cadres sous le régime khmer rouge responsable de la mort d’un quart de la population cambodgienne entre 1975 et 1979. Tous sont proches du Premier ministre Hun Sen depuis au moins 20 ans. Tous sont membres du comité central du CPP, le parti du Premier ministre.
Les droits politiques des membres des forces de sécurité sont garantis par les lois internationales. Mais pour l’ONG, au Cambodge, cet engagement politique interfère avec l’obligation de respect des droits de l’Homme. Avec l’aide de sa garde rapprochée, le Premier ministre est régulièrement accusé de réprimer toutes critiques en amont des élections du 29 juillet.
Alors que nombre d’Etats occidentaux mettent en doute la légitimité du scrutin, les Etats-Unis ont franchi un cap le 12 juin dernier. Pour avoir mené un groupe impliqué dans des violations des droits de l’homme, le général Hing Bun Hieng, chef des gardes du corps de Hun Sen, a été interdit de séjour aux Etats-Unis et ses biens y ont été gelés.
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